Infirmières : des conditions de travail qui empirent

D’après le nouvel ops, le métier des infirmières ne va pas en s’arrangeant. Les conditions de travail deviennent de plus en plus difficiles dans les hôpitaux, les cliniques et les maisons de retraite médicalisées.

En effet, l’infirmière dépasse largement les 12 heures par jour, parfois, elle travaille plus de 15 heures. Confrontées à la mort, la maladie, la dépression, l’agressivité des patients, et payé à peine 1400 euros nets au sortir de l’école, la communauté du personnel soignant ne comprend pas le manque de moyens mis en oeuvre pour la bonne évolution de la profession ni même un manque flagrant de reconnaissance de la part de l’état qui a, début 2010, retiré la « pénibilité » dans les calcul des retraites des infirmières. Pourtant, les podomètres indiquent 10 à 12 km parcourus par jour par ces derniers !

Dépassant régulièrement les cotas de patients/infirmière, le personnel, en sous effectif, n’a pourtant pas le choix. En entrant souvent dans le métier par vocation, il est plus compliqué de se remettre en cause, de prendre du recul sur son travail. Le « prendre-soin », la bienveillance, l’accompagnent… Nombreuses sont les valeurs auxquelles adhère ladite vocation. Pourtant, le temps manque cruellement : avec parfois cinq minutes maximum par patient, difficile de se sentir utile et nouant un contact humain altruiste.

D’ailleurs, ce manque de temps ne favorise pas non plus une expérience de qualité, on dénonce plutôt un système industriel plutôt que médical… et face à une pression croissante de la part des supérieurs hiérarchiques devant une forte hausse des demandes de patients, ces derniers étant de plus en plus nombreux, beaucoup d’infirmières et d’aides soignantes sombrent dans des burn out. Un véritable cercle vicieux.

Conscient de ces enjeux, Yucall développe également ses produits pour tenter d’atténuer la pénibilité des conditions de travail du personnel médical. En réduisant les déplacements et maximisant le temps passé auprès de chaque patient, peut-être sera-t-il ouvert la voie d’une réflexion technologiques qui va dans le sens de ceux qui prennent soin de nous ?

D'après le nouvel ops, le métier des infirmières ne va pas en s'arrangeant. Les conditions de travail deviennent de plus en plus difficiles dans les hôpitaux, les cliniques et les maisons de retraite médicalisées. En effet, l'infirmière dépasse largement les 12 heures par jour, parfois, elle travaille plus de 15 heures. Confrontées à la mort, la maladie, la dépression, l’agressivité des patients, et payé à peine 1400 euros nets au sortir de l'école, la communauté du personnel soignant ne comprend pas le manque de moyens mis en oeuvre pour la bonne évolution de la profession ni même un manque flagrant de reconnaissance de la part de l'état qui a, début 2010, retiré la "pénibilité" dans les calcul des retraites des infirmières. Pourtant, les podomètres indiquent 10 à 12 km parcourus par jour par ces derniers ! Dépassant régulièrement les cotas de patients/infirmière, le personnel, en sous effectif, n'a pourtant pas le choix. En entrant souvent dans le métier par vocation, il est plus compliqué de se remettre en cause, de prendre du recul sur son travail. Le "prendre-soin", la bienveillance, l'accompagnent... Nombreuses sont les valeurs...

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D’après le nouvel ops, le métier des infirmières ne va pas en s’arrangeant. Les conditions de travail deviennent de plus en plus difficiles dans les hôpitaux, les cliniques et les maisons de retraite médicalisées.

En effet, l’infirmière dépasse largement les 12 heures par jour, parfois, elle travaille plus de 15 heures. Confrontées à la mort, la maladie, la dépression, l’agressivité des patients, et payé à peine 1400 euros nets au sortir de l’école, la communauté du personnel soignant ne comprend pas le manque de moyens mis en oeuvre pour la bonne évolution de la profession ni même un manque flagrant de reconnaissance de la part de l’état qui a, début 2010, retiré la « pénibilité » dans les calcul des retraites des infirmières. Pourtant, les podomètres indiquent 10 à 12 km parcourus par jour par ces derniers !

Dépassant régulièrement les cotas de patients/infirmière, le personnel, en sous effectif, n’a pourtant pas le choix. En entrant souvent dans le métier par vocation, il est plus compliqué de se remettre en cause, de prendre du recul sur son travail. Le « prendre-soin », la bienveillance, l’accompagnent… Nombreuses sont les valeurs auxquelles adhère ladite vocation. Pourtant, le temps manque cruellement : avec parfois cinq minutes maximum par patient, difficile de se sentir utile et nouant un contact humain altruiste.

D’ailleurs, ce manque de temps ne favorise pas non plus une expérience de qualité, on dénonce plutôt un système industriel plutôt que médical… et face à une pression croissante de la part des supérieurs hiérarchiques devant une forte hausse des demandes de patients, ces derniers étant de plus en plus nombreux, beaucoup d’infirmières et d’aides soignantes sombrent dans des burn out. Un véritable cercle vicieux.

Conscient de ces enjeux, Yucall développe également ses produits pour tenter d’atténuer la pénibilité des conditions de travail du personnel médical. En réduisant les déplacements et maximisant le temps passé auprès de chaque patient, peut-être sera-t-il ouvert la voie d’une réflexion technologiques qui va dans le sens de ceux qui prennent soin de nous ?

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