Interdiction des produits phytosanitaires: nouvelles mesures
La quête pour l’interdiction des produits phytosanitaires continue!
Depuis plus d’un an les produits phytosanitaires sont interdits en libre-service et le 26 janvier dernier le gouvernement a déclaré qu’il a l’intention de séparer le conseil de la vente agricole.
En effet, depuis 2015 le gouvernement met en place des mesures visant à réduire la quantité de phytosanitaires produits et utilisés. L’objectif final de ces projets de lois est d’interdire l’accès des phytosanitaires aux particuliers. Cette loi devrait entrer en vigueur le 19 janvier 2019.
Si le gouvernement souhaite supprimer les phytosanitaires, c’est à cause de leurs effets néfastes sur l’environnement. Sans oublier leur nature cancérigènes, pour certains. Le problème réside dans la forte utilisation de ces phytosanitaires, notamment le Glyphosate, qui mettrait plusieurs années à être retirer de la circulation. Ces mesures sont donc nécessaires mais elles auront des conséquences importantes sur le marché.
On constate que certains grands distributeurs ont préféré retirer de leur magasin les phytosanitaires interdits au libre-service, comme Auchan. Ainsi ils évitent le réaménagement de leurs produits pour en restreindre l’accès. Pour conseiller et vendre ces phytosanitaires, les grands distributeurs doivent être informer lorsqu’un client souhaite en acheter. Une solution pour rester performant est d’investir dans des solutions digitales. Truffaut, par exemple a installé des boutons d’appels dans ses magasins. Cette installation permet aux clients de contacter un vendeur lorsqu’ils veulent acheter un phytosanitaire.
En outre, la séparation du conseil et de la vente de phytosanitaires va entrainer des coûts supplémentaires pour les distributeurs. En effet, ceux-ci vont être obligé d’embaucher plus de personnel pour séparer ces deux activités. Cette mesure pourrait donc avoir des conséquences catastrophiques au niveau de l’économie française. « Ce qui nous importe aujourd’hui c’est moins la question de la vente pour la vente mais la vente pour répondre à des marchés, d’où l’importance du lien avec le conseil », rappelle Pascal Viné, le directeur général de Coop de France.
La quête pour l’interdiction des produits phytosanitaires continue! Depuis plus d’un an les produits phytosanitaires sont interdits en libre-service et le 26 janvier dernier le gouvernement a déclaré qu’il a l’intention de séparer le conseil de la vente agricole. En effet, depuis 2015 le gouvernement met en place des mesures visant à réduire la quantité de phytosanitaires produits et utilisés. L’objectif final de ces projets de lois est d’interdire l’accès des phytosanitaires aux particuliers. Cette loi devrait entrer en vigueur le 19 janvier 2019. Si le gouvernement souhaite supprimer les phytosanitaires, c’est à cause de leurs effets néfastes sur l’environnement. Sans oublier leur nature cancérigènes, pour certains. Le problème réside dans la forte utilisation de ces phytosanitaires, notamment le Glyphosate, qui mettrait plusieurs années à être retirer de la circulation. Ces mesures sont donc nécessaires mais elles auront des conséquences importantes sur le marché. On constate que certains grands distributeurs ont préféré retirer de leur magasin les phytosanitaires interdits au libre-service, comme Auchan. Ainsi ils évitent...
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La quête pour l’interdiction des produits phytosanitaires continue!
Depuis plus d’un an les produits phytosanitaires sont interdits en libre-service et le 26 janvier dernier le gouvernement a déclaré qu’il a l’intention de séparer le conseil de la vente agricole.
En effet, depuis 2015 le gouvernement met en place des mesures visant à réduire la quantité de phytosanitaires produits et utilisés. L’objectif final de ces projets de lois est d’interdire l’accès des phytosanitaires aux particuliers. Cette loi devrait entrer en vigueur le 19 janvier 2019.
Si le gouvernement souhaite supprimer les phytosanitaires, c’est à cause de leurs effets néfastes sur l’environnement. Sans oublier leur nature cancérigènes, pour certains. Le problème réside dans la forte utilisation de ces phytosanitaires, notamment le Glyphosate, qui mettrait plusieurs années à être retirer de la circulation. Ces mesures sont donc nécessaires mais elles auront des conséquences importantes sur le marché.
On constate que certains grands distributeurs ont préféré retirer de leur magasin les phytosanitaires interdits au libre-service, comme Auchan. Ainsi ils évitent le réaménagement de leurs produits pour en restreindre l’accès. Pour conseiller et vendre ces phytosanitaires, les grands distributeurs doivent être informer lorsqu’un client souhaite en acheter. Une solution pour rester performant est d’investir dans des solutions digitales. Truffaut, par exemple a installé des boutons d’appels dans ses magasins. Cette installation permet aux clients de contacter un vendeur lorsqu’ils veulent acheter un phytosanitaire.
En outre, la séparation du conseil et de la vente de phytosanitaires va entrainer des coûts supplémentaires pour les distributeurs. En effet, ceux-ci vont être obligé d’embaucher plus de personnel pour séparer ces deux activités. Cette mesure pourrait donc avoir des conséquences catastrophiques au niveau de l’économie française. « Ce qui nous importe aujourd’hui c’est moins la question de la vente pour la vente mais la vente pour répondre à des marchés, d’où l’importance du lien avec le conseil », rappelle Pascal Viné, le directeur général de Coop de France.